Alors que Nicolas Hulot, fervent opposant aux boues rouges en Méditerranée, vient d’être nommé Ministre d’Etat en charge de la Transition écologique et solidaire, il doit passer du plaidoyer à l’action et des paroles aux actes.
Dans un appel de 2012, celui qui dénonçait déjà ces rejets toxiques qui « menacent directement la santé et l’environnement », les qualifiant de « scandale sanitaire », demandait l’arrêt immédiat de ces rejets en Méditerranée. En 2016, même après les évolutions sur ce dossier, il réaffirmait sa position sur France Inter, apportant son soutien « à ceux qui se battent contre les rejets de boues rouges en Méditerranée ».
Aujourd’hui au Gouvernement, Nicolas Hulot porte les aspirations de tous ceux qui, professionnels de la mer, scientifiques et citoyens, se battent contre ces rejets. Il a la chance de pouvoir passer des paroles aux actes et de mettre enfin un terme à ce scandale sanitaire, qui dure depuis trop longtemps.
Militant de l’écologie politique et de la protection de la planète, Nicolas Hulot ne peut pas rester silencieux, et nous avons bon espoir qu’il prenne enfin les mesures qui s’imposent pour que cesse ce scandale.